Comment choisir le bon consultant SEO et freelance marketing
Décryptage : SEO, branding et stratégie de marché. Trouvez le bon consultant pour structurer votre visibilité et parler à vos clients cibles. Un freelance avec la double compétence est la solution pour une cohérence globale.
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LYDIE GOYENETCHE
6/9/202514 min lire


Tailler la vigne, tailler le web
Cet article fait partie du dossier "Stratégie d'inbound marketing pour l'agro-alimentaire et les spiritueux".
SEO, transmission et développement international des entreprises viticoles en Aquitaine
Il y a, dans le geste de la taille, quelque chose de silencieux et d’essentiel. L’hiver s’est installé, les pieds sont nus, la sève est descendue. Le vigneron, seul face au rang, coupe, observe, choisit ce qu’il laisse et ce qu’il enlève. Il ne s’agit pas seulement de produire : il s’agit de transmettre. Une vigne mal taillée, c’est une promesse qui se perd. Une vigne bien taillée, c’est une trajectoire dessinée dans le temps.
À bien y regarder, le travail de structuration SEO d’un site web viticole n’est pas si différent. Il s’agit là aussi d’un art du choix. Que garder ? Que retrancher ? Quelle page porter à fruit, et laquelle rabattre ? Comment structurer ce qui est vivant, en lien avec le marché, la mémoire, le sol et la saison ? Dans un monde numérique saturé, où les IGP et les AOC se noient dans des pages vitrines sans saveur, tailler dans le web devient un acte d’avenir.
En Aquitaine, où la vigne dessine les paysages et les espoirs économiques, cette question prend un relief particulier. Car ici, le vin n’est pas un simple produit : il est héritage, identité, levier d’exportation, langage de la terre. Mais pour atteindre les marchés internationaux — de Londres à Tokyo, de Montréal à Copenhague — il ne suffit plus d’avoir un bon vin. Il faut savoir se dire, dans un langage que les moteurs de recherche peuvent lire, que les clients étrangers peuvent comprendre, et que les partenaires commerciaux peuvent recommander.
Cet article est une invitation à repenser la stratégie digitale des entreprises viticoles en prenant la taille de la vigne comme métaphore fondatrice. Il ne s’agit pas de suivre des recettes toutes faites, mais de retrouver, dans le travail numérique, la rigueur artisanale, le respect du vivant, et l’intelligence du geste simple.
Car un site bien structuré, à l’image d’une vigne bien taillée, portera du fruit — au bon moment, sur les bonnes branches, avec une croissance maîtrisée. Et ce fruit-là, c’est votre visibilité, votre notoriété, votre capacité à exporter sans perdre votre âme.
La taille hivernale : séparer l’inutile du vivant
C’est en hiver que le vigneron prépare la vigne pour ce qu’elle donnera, non cette année seulement, mais dans trois, cinq, dix ans. Il coupe avec discernement, guidé par l’œil et par l’expérience. Il sait que trop de branches affaiblissent la sève, que l’énergie doit se concentrer sur quelques rameaux bien orientés. Tailler, ce n’est pas appauvrir. C’est structurer pour faire grandir.
Un site viticole mal structuré, c’est une vigne laissée en friche. Trop de pages, pas assez de hiérarchie. Des mots-clés génériques dans un océan de silences. Un tunnel de conversion embrouillé. Et parfois, un e-commerce greffé à la hâte sur une souche éditoriale fragile.
Prenons un exemple concret, non pour juger, mais pour réfléchir : le site des Vignerons de Buzet. Leur démarche coopérative, engagée et respectueuse de l’environnement est admirable. Leurs vins, souvent bien notés, pourraient séduire certains marchés internationaux, notamment au Mexique, où l’on recherche des rouges accessibles, expressifs, ancrés dans une histoire de terroir.
Et pourtant, en observant leur site, on perçoit une absence de mise en récit. La page boutique fonctionne — mais elle est dissociée du sens, du lieu, de la culture. Les bouteilles sont listées, mais leur ancrage est en sourdine. Aucun récit immersif, aucun fil conducteur, aucune résonance avec les attentes émotionnelles des clients étrangers : pas d’anglais, pas d’espagnol, pas de mots pour dire “Buzet” à un public qui ne le connaît pas encore.
Ce constat ne concerne pas seulement Buzet. Il s’applique à une majorité de sites viticoles français : architecture peu claire, absence de segmentation par marché, mélange entre discours coopératif, pages institutionnelles et fiches produits sans âme. Le problème n’est pas technique, mais symbolique : le site est là, mais il ne parle pas. Ou du moins, pas assez fort, pas à la bonne personne, pas dans la bonne langue.
La taille d’un site commence par là : clarifier l’architecture comme on dégage un cep, faire apparaître les branches principales. En viticulture, on parle de bras charpentiers. En web, on parle de pages piliers. Ce sont elles qui porteront le contenu, qui nourriront l’ensemble du référencement, qui guideront la lecture des IA comme des acheteurs.
Or ici, quelle est la page pilier ? Est-ce la boutique ? La charte éthique ? L’histoire ? Le “Nous” des vignerons ? Rien ne le dit clairement. Et dans un monde numérique où l’attention dure moins de huit secondes, cette absence de hiérarchie équivaut à un silence stratégique.
Ce silence, pourtant, est une opportunité. Comme la vigne en hiver, le site peut être redessiné. Il ne s’agit pas de tout refaire. Il s’agit de repenser le squelette éditorial, de regrouper les grappes, d’orienter la lumière vers ce qui porte fruit.
Quels sont les marchés cibles ? Quels mots utilisent-ils ? Quelles valeurs de la marque peuvent être traduites, transmises, localisées ? Quelle page raconte cela, de manière claire, visible, profonde ? Si le visiteur mexicain arrive sur la boutique, saura-t-il qu’il achète une bouteille issue d’un territoire militant, d’une histoire collective, d’un savoir-faire singulier ? Rien n’est moins sûr.
Alors, comme pour la vigne, tout commence par une décision simple : accepter de couper ce qui disperse pour faire croître ce qui porte. Et cette taille, si elle est bien faite, ne détruit rien. Elle révèle. Chez Euskal conseil avant toute stratégie digitale, tout travail SEO on parle de vous de votre entreprise, de votre histoire, de vos clients, de votre business plan et de vos marchés cibles. Après nous dessinons avec vous une stratégie digitale efficace qui vous aide à atteindre vos objectifs. Le Seo est un outil au service de votre stratégie de marque.
Former la charpente : donner une direction claire à la vigne numérique
Toujours dans ce moment hivernal où l’on taille, où l’on choisit ce que l’on guide et ce que l’on retire, on peut regarder ce que font d’autres domaines pour éclairer le geste.
Prenons à présent un contre-exemple inspirant, celui du Château de Pommard. Dès l’arrivée sur le site, tout est orienté. Pas seulement techniquement — même si les performances sont là — mais symboliquement. Le regard est guidé, comme le bras du vigneron qui sait exactement vers où étendre son sarment. Ici, chaque branche éditoriale est tendue vers un marché précis : l’international, les amateurs éclairés, les initiés de la Bourgogne, les touristes américains, les passionnés de biodynamie.
On entre non par la boutique, mais par un récit. Le domaine se raconte à travers son sol, ses équipes, sa philosophie. L’anglais est soigné, natif, intégré comme une langue d’origine, pas comme une traduction. Chaque page est travaillée comme un rameau qu’on a épargné, qu’on a formé, qu’on a nourri : page sur les visites, sur les expériences pédagogiques, sur l’école du vin, sur les millésimes… Ici, le contenu n’est pas un décor. Il est porteur de sève.
Et cette sève-là circule bien. Elle irrigue les réseaux sociaux, elle renvoie à des backlinks puissants, elle tisse des liens avec l’e-commerce, sans rupture. La boutique, d’ailleurs, n’est pas un catalogue brut. C’est une galerie éditoriale, où chaque vin raconte sa parcelle, son histoire, sa vinification, son destin.
Revenons à notre vigne de Buzet. Ce que l’on comprend, ce n’est pas qu’elle est stérile — loin de là. C’est qu’elle est riche mais non guidée. Il y a de la matière, mais pas encore de charpente digitale. Il y a des racines coopératives fortes, mais pas encore de bras narratifs structurés. C’est une vigne qui pousse bien, mais qui ne dit pas où elle veut aller.
Alors, l’enjeu n’est pas de copier Pommard. L’enjeu, c’est d’oser tailler sa propre vigne digitale en fonction de son identité propre. Car Buzet n’est pas Pommard. Et c’est tant mieux. L’un peut incarner la noblesse accessible d’un vin collectif éthique ; l’autre, la rareté pédagogique d’un terroir bourguignon. Mais chacun doit avoir une architecture claire, des pages qui portent, une narration qui dirige la croissance vers des marchés réels.
En SEO comme en viticulture, on ne taille pas toutes les vignes de la même manière. Mais on taille toujours avec un but. Et aujourd’hui, pour beaucoup de domaines en Aquitaine, ce but passe par l’export, par l’international, par le besoin de dire "qui l’on est" au-delà des frontières.
La taille est parfois un arrachement. Mais le fruit qu’elle permet justifie le geste. Dans la taille comme dans le SEO, tout repose sur la structuration. Là où beaucoup d’agences digitales empilent des contenus sans vision, une véritable stratégie repose sur la construction d’une charpente éditoriale solide, orientée marché, respectueuse de l’ADN de la marque. Structurer, ce n’est pas remplir. C’est former. Et dans le vin comme dans le web, la vigueur sans direction ne donne jamais de fruit durable.
Orienter la sève : aligner SEO et stratégie de marque pour un développement international durable
Une fois les bois morts coupés et les rameaux superflus écartés, reste à choisir vers où guider la sève. Tailler n’a de sens que si l’on sait orienter la croissance. Dans la vigne comme sur le web, ce qui compte n’est pas seulement ce qui pousse, mais ce qui porte du fruit dans la direction choisie. Là il vous faut un expert, non pas qui conçoive le site seulement mais l'accompagne dans son développement, son éducation et sa création de liens vers les nouveaux marchés. C'est ce que nous faisons chez Euskal Conseil aussi patiemment que vous prenez soin de vos vignes.
Il est tentant de confier le SEO à un prestataire technique et la stratégie de marque à une agence de communication. L’un s’occupera des mots-clés, l’autre du storytelling. L’un visera les moteurs de recherche, l’autre les émotions. Mais cette séparation est un leurre. Le branding sans référencement est aveugle. Le SEO sans vision de marque est muet.
Dans le vin, chaque marché international a ses sensibilités, ses attentes culturelles, ses points d’accroche émotionnels. Un amateur canadien sera sensible à la biodynamie et aux expériences œnotouristiques immersives. Un importateur japonais valorisera la précision, la constance, l’histoire transmise. Un client mexicain cherchera un vin rouge expressif, chaleureux, facile à raconter autour d’une table familiale. Il ne s’agit pas de traduire un même site dans trois langues. Il s’agit de bâtir des extensions éditoriales cohérentes avec chaque cible, comme on palisse des rameaux dans des directions différentes, selon l’exposition, le cépage, la nature du sol. Chez Euskal conseil nous vous accompagnons dans les choix éditoriaux et la stratégie de liens vers votre marché cible, nous n'achetons pas en masse des backlinks de mauvaise qualité, nous allons vers les sites, les blogs, les revues qui raisonnent avec la marque.
Ce que permet le SEO, c’est justement cette finesse d’orientation. Une page peut viser les sommeliers new-yorkais. Une autre peut parler à un distributeur belge, ou à un importateur scandinave. À condition que l’architecture du site le permette, que les pages soient conçues dès le départ comme des espaces narratifs dédiés à un marché. Pas des copier-coller. Pas des déclinaisons artificielles. Mais des versions enracinées, pensées avec autant de soin qu’un choix de greffe.
Dans cette logique, le bon consultant SEO n’est pas celui qui “fait monter” un site sur Google France, mais celui qui sait travailler avec le responsable export, le service marketing, le graphiste et le webmaster, pour créer une croissance numérique harmonieuse, fidèle à la vigne originelle. Le bon consultant SEO sait aussi que certains grands domaines ne bénéficient pas de la même liberté éditoriale que des vignerons indépendants et est capable de vous proposer des solutions adaptées pour concilier tous les impératifs. C'est ce que nous faisons au quotidien chez Euskal conseil.
Une stratégie bien conduite, c’est une sève qui circule dans toutes les branches du site, sans contradiction. Le logo, les couleurs, les mots, les rubriques, les appels à l’action : tout respire la même identité, tout porte dans la même direction. Le visiteur venu d’ailleurs ne se sent pas perdu, mais accueilli. Il comprend qu’il n’est pas en train de lire une version anglaise par défaut, mais une invitation à entrer dans un monde qui a pensé à lui.
Cela demande du temps, de la précision, de l’écoute. Cela demande de ne pas déléguer l’international à un plugin ou à une IA, mais de le penser comme un acte de transmission culturelle. Et cela demande que le consultant SEO soit aussi un passeur. Pas un technicien isolé, mais un partenaire stratégique.
Quand cette alchimie a lieu, le site devient plus qu’un outil de vente. Il devient un relais vivant de la maison, un espace de respiration où le terroir, l’histoire et la stratégie avancent ensemble, comme la vigne qui pousse sur un palissage invisible mais solide.
Et c’est là que tout change : on ne travaille plus pour apparaître, on travaille pour durer.
Palissage et floraison : faire monter la visibilité par un SEO émotionnel et relationnel
Il ne suffit pas de tailler. Il faut ensuite guider la croissance. Dans la vigne, on palisse les rameaux sur des fils de fer, pour qu’ils montent droit, qu’ils reçoivent la lumière, qu’ils ne s’emmêlent pas. Une vigne sans palissage s’épuise, se replie sur elle-même. Elle donne du bois, mais peu de fleurs. Et sans fleurs, pas de fruit.
Sur le web, le palissage, c’est le travail de visibilité organique. Une fois le site structuré et orienté, il faut l’aider à “monter” — non pas à coup de promesses miracles, mais par capillarité, relations, liens et signaux humains.
Et cela commence par une évidence souvent oubliée : la visibilité ne vient pas que de Google. Elle vient aussi de la confiance humaine qui se construit autour du nom du domaine, sur les réseaux sociaux, dans la presse spécialisée, sur les blogs de niche, dans les communautés d’amateurs. C’est ce qu’on appelle aujourd’hui le Social SEO.
Le Social SEO ne consiste pas à poster pour poster, mais à créer des points de rencontre sincères entre le contenu du site et les émotions de ceux qui le lisent. Cela passe par des extraits bien choisis, des phrases qui touchent, des récits de vendanges, des vidéos de taille, des photos de mains dans la terre. Tout ce qui fait sentir que le domaine vit, parle, écoute.
Les moteurs de recherche le voient. Pas comme des humains — mais ils enregistrent les signaux de confiance : les partages, les clics, le temps passé sur une page, les backlinks naturels générés par des contenus qui résonnent. Une page aimée est une page plus forte. Une URL relayée avec émotion est une URL qui monte. Le SEO émotionnel, ce n’est pas une tendance. C’est une vérité profonde : ce qui touche, se transmet.
En Aquitaine, les vignerons ont un avantage : l’authenticité est déjà là. Il ne manque que la mise en forme. Ce que les agences appellent “contenu engageant”, toi tu l’as déjà vécu : la pluie sur le raisin au matin de la vendange, le stress du premier embouteillage, l’arrivée d’un nouveau client japonais qui demande “quel est le vin préféré de votre père ?”. C’est ce matériau brut qu’il faut façonner, doucement, et relier au reste : à ton site, à tes fiches produits, à tes pages piliers, à ta vision.
Et c’est ici qu’intervient le maillage. Le palissage du web. Chaque page doit pointer vers une autre : un article vers une fiche produit, une fiche produit vers un article de blog, une interview vers une page contact. C’est ce réseau interne, tissé avec soin, qui permet à la lumière d’atteindre chaque bourgeon.
Mais la floraison ne s’arrête pas là. Il faut aussi faire venir les abeilles, les relais extérieurs, les pollinisateurs numériques : articles invités, interviews dans des revues viticoles, partenariats avec des sommeliers, backlinks depuis des sites de confiance. Un site bien maillé, bien relié, devient peu à peu un écosystème vivant, qui ne dépend plus d’un seul canal, mais qui s’épanouit dans un ensemble d’interactions humaines et algorithmiques.
Et alors, comme dans la vigne au printemps, la floraison se voit. Le site devient plus lisible. Plus visité. Les pages piliers montent. Les mots justes remontent dans les résultats. Les clics sont mieux orientés. Le tout respire.
Il n’y a pas de magie. Juste du soin, du lien, de la cohérence. Une marque claire. Une voix cohérente. Des contenus ancrés. Et une présence digitale tissée non pour impressionner, mais pour durer.
Vendanges numériques : récolter les fruits d’un positionnement incarné
Vient le temps des vendanges. Le silence de l’hiver, les choix de la taille, l’élan du printemps, tout cela a préparé ce moment. On ne cueille pas ce qu’on a semé : on cueille ce qu’on a formé. Et ce qu’on a laissé grandir, jour après jour, dans la cohérence.
En SEO, comme dans la vigne, la récolte n’est pas immédiate. Mais elle est mesurable. Et contrairement à ce que beaucoup croient, ce ne sont pas les positions dans Google qui comptent le plus. Ce sont les signaux profonds, ceux que les moteurs perçoivent, mais surtout ceux que les humains confirment : le temps passé, la densité de lecture, les clics réels, la mémoire créée.
Dans ma propre stratégie, je le constate avec Google Analytics et Clarity : les articles bien écrits, bien liés, bien positionnés dans un réseau de sens, génèrent 5 à 6 minutes de lecture active, des événements multiples par visite, et un engagement clair sur certaines pages piliers. Les visiteurs ne consomment pas : ils explorent. Et ça, c’est le fruit d’un SEO nourri par une stratégie de marque claire, incarnée, orientée marchés. Pourtant le site est jeune, l'entreprise récente avec peu de moyens, comme quoi la rigueur et la stratégie payent sur le long terme.
Ces indicateurs — taux d’engagement par source, nombre d’événements déclenchés, origine géographique du trafic, segmentation par langue ou appareil, référencements IA (Google Bard, ChatGPT, etc.) — deviennent les nouveaux repères viticoles du numérique. C’est là que se lit le vrai rendement : dans la capacité à nourrir un écosystème relationnel cohérent, pas à « ranker » sur un mot-clé vide.
Et c’est là aussi que mon expertise trouve sa pleine expression : ayant travaillé dans l’agroalimentaire, les circuits CHR, et les spiritueux, je sais que chaque canal a ses exigences. Un restaurateur ne cherche pas la même chose qu’un grossiste ou qu’un distributeur étranger. Un importateur B2B lira différemment qu’un touriste belge cherchant une bouteille souvenir. Et ces différences ne se résolvent pas par un mot-clé, mais par une structuration différenciée du site, du maillage, du contenu.
La récolte numérique, ce sont aussi les leads qualifiés qui arrivent sans prospection directe, les demandes de contact sur une page nichée, les appels entrants venus d’un article oublié mais bien référencé. C’est ce que j'observe sur mon propre site avec des outils comme Visitor Queue : certaines entreprises lisent, prennent leur temps, reviennent, explorent. Elles n’achètent pas en un clic. Elles s’enracinent dans mon contenu, comme la vigne dans le sol.
Et c’est là que tout se joue : la fidélisation par la compétence visible, le positionnement non invasif, l’inbound marketing intelligent, aligné avec une culture du vin qui refuse le tapage.
Ce modèle, je ne l'ai pas copié. Je l'ai construit, jour après jour, comme on apprend à tailler en regardant les anciens. Je l'ai ajusté à ma sensibilité, à mon regard sur le monde, à mon ancrage basque et aquitain, à ma rigueur d’analyse, à ma foi dans la transmission. Et c’est pour cela qu’il porte du fruit.
Conclusion – L’art de durer : entre la terre, le web et l’export
Il ne suffit pas d’avoir une belle bouteille. Il faut un sol, une charpente, un palissage, et du temps.
Un site web, c’est pareil : pas une vitrine figée, mais une vigne vivante, taillée, guidée, liée à son marché.
Et quand ce travail est bien fait, le fruit se conserve, s’exporte, et se partage.
Non pas à coup de pub vide ou de vanity metrics, mais par le goût de la vérité, du lien et du sens.




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