Quand Facebook te traite comme une mule : l’art de partager du contenu sans se faire bloquer !
"Envie de rire ? Découvrez comment Facebook transforme vos efforts de marketing en rodéo avec des règles dignes d'une mule assise sur un panier de basket. Spoiler : vous allez adorer détester l’algorithme !"
COMMUNICATIONWEBMARKETING
LYDIE GOYENETCHE
12/25/20243 min lire


1. La règle du lien externe : "Non, mais reste dans l’écosystème Facebook, s'il te plaît !"
Exemple drôle :
Vous publiez fièrement un lien vers votre dernier article, hyper pertinent, dans un groupe sur le marketing digital. Vous prenez soin d’écrire une introduction captivante et de mentionner comment cela aidera la communauté à résoudre un problème clé. Résultat ? Facebook vous signale immédiatement comme spammeur·se.
C’est un peu comme si vous organisiez une fête chez vous, invitiez des amis, et que votre colocataire se mettait à hurler : "Non, pas de chips d’une autre marque que les miennes !". Facebook veut que tout reste dans sa maison.
2. La règle du partage multiple : "Une publication par jour suffit, merci bien."
Exemple drôle :
Vous vous dites : "Super, mon article sur les meilleures pratiques en RSE va intéresser ces 10 groupes orientés développement durable." Vous le partagez donc un peu partout.
Conséquence immédiate :
Vous recevez une notification : "Votre comportement ressemble à celui d’un robot. Pourriez-vous prouver que vous êtes humain·e ?" Vous êtes à deux doigts de vous filmer en train de boire un café ou de chanter votre chanson préférée pour convaincre l’algorithme que vous êtes bien une vraie personne.
3. Les réactions de groupe : "Vous êtes trop pro pour être sympa."
Exemple drôle :
Dans un groupe axé entrepreneuriat, vous lancez un post rempli de conseils gratuits et utiles, accompagné d’un lien vers une checklist téléchargeable sur votre site. Un membre commente :
"Ça sent l’auto-promo, non ? Ici, on est là pour échanger, pas pour vendre."
4. Les mots-clés bannis : "Trop de sérieux, ça nous stresse."
Exemple drôle :
Vous voulez annoncer un webinaire sur l’inbound marketing. Vous rédigez votre post avec des mots comme "webinaire", "stratégie", "inscrivez-vous", et... silence radio. L’algorithme décide que c’est une pub déguisée et réduit votre portée à... 3 personnes (vous, votre mère et votre meilleur·e ami·e).
Moralité ? Vous remplacez "webinaire" par "petit moment sympa", "stratégie" par "petit truc cool", et "inscrivez-vous" par "venez si vous voulez". Et là, miracle, 300 personnes voient votre post.
5. Le cas des groupes hyperspécialisés : "On veut de la simplicité, pas de la stratégie."
Exemple drôle :
Dans un groupe sur la gestion d’entreprise, vous partagez un article sur "Comment optimiser votre SEO".
Un membre répond :
"Ton article est peut-être intéressant, mais ici on préfère des discussions simples, genre ‘Comment je gère mes stocks’."
C’est comme si vous arriviez dans un cours de yoga avec une planche de surf et qu’on vous disait : "Euh... ici, on reste sur la terre ferme, merci."
6. L’arme secrète : les GIFs et mèmes (ou comment amadouer Facebook et les modérateurs)
Exemple drôle :
Plutôt que de partager directement votre lien, vous créez un mème :
👉 Une photo de chat avec le texte : "Quand je veux partager du contenu utile mais que Facebook me traite de spammeur·se."
Puis, dans les commentaires, vous ajoutez subtilement :
"Si vous voulez en savoir plus, envoyez-moi un MP ou Googlez mon blog. 😉"
Résultat ? 50 réactions amusées et zéro signalement.
7. La leçon d’humilité : accepter l’absurde et en rire
En fin de compte, être une acharnée du contenu sur Facebook, c’est comme essayer de jongler avec des œufs dans une pièce remplie de ventilateurs. Vous savez qu’une casse est inévitable, mais vous continuez, car parfois, ça marche.
Et c’est là toute la magie : malgré ses règles étranges et parfois frustrantes, Facebook reste un outil puissant. Il suffit de jouer avec ses limites, d’adopter une dose de créativité (et beaucoup d’humour), et de se souvenir que même un échec peut devenir une anecdote savoureuse pour votre blog.
Conclusion : Facebook, je t’aime (mais c’est compliqué)
Alors, ami·e·s marketers, entrepreneurs et autres acharné·e·s du contenu, ne vous découragez pas. Facebook est comme ce collègue un peu étrange mais attachant : on râle contre ses bizarreries, mais on ne peut pas vraiment s’en passer. Et si tout échoue, n’oubliez pas de revenir ici pour une bonne dose de rire et d’inspiration. 😄




EUSKAL CONSEIL
9 rue Iguzki alde
64310 ST PEE SUR NIVELLE
07 82 50 57 66
euskalconseil@gmail.com