Le consulting en action : Les Coulisses fictives d’un Projet chez Méricq
Plongez dans les défis et débats entre consultants pour améliorer l'application mobile de Méricq. Entre frictions et collaboration, découvrez comment marketing, digital et expérience client s’unissent pour convaincre les restaurateurs
MARKETING
Lydie GOYENETCHE
1/5/20254 min lire


Quand Marketing, Digital et Expérience Client se Clashent : un Cocktail Explosif chez Méricq ! Une marée d'avance!
Introduction : Ce scénario est complètement fictif, mais il illustre des défis bien réels que rencontrent les entreprises en travaillant avec des équipes de consultants en marketing, stratégie digitale et expérience client. Aujourd’hui, nous vous emmenons au cœur d’une intervention chez Méricq, leader de la distribution de produits de la mer, qui cherche à optimiser son application mobile pour les restaurateurs. Entre débats enflammés et solutions audacieuses, plongez dans les coulisses de cette collaboration hors norme !
Journaliste : Merci à vous trois de nous accorder un peu de votre temps. Pour commencer, pouvez-vous vous présenter et expliquer vos rôles respectifs ?
Consultante en Stratégie Marketing (Claire) : Avec plaisir ! Je suis Claire Dupont, consultante en stratégie marketing depuis huit ans. Mon rôle est d’accompagner les entreprises dans leur positionnement, leurs campagnes et leur développement commercial pour maximiser leur impact sur le marché.
Consultant en Stratégie Digitale (Julien) : Moi, c’est Julien Morel, spécialiste en stratégie digitale. J’aide les entreprises à concevoir des outils numériques efficaces et à tirer parti des technologies pour atteindre leurs objectifs plus rapidement.
Consultant en Expérience Client (Thomas) : Et moi, c’est Thomas Leroy. Mon travail consiste à m’assurer que l’expérience client est impeccable : fluide, intuitive et mémorable. Je me concentre sur chaque interaction entre l’entreprise et ses clients.
Journaliste : Méricq souhaite améliorer son application mobile destinée aux restaurateurs. Quelles ont été vos premières impressions sur ce projet ?
Claire : L’application a un potentiel énorme. Les chefs de cuisine semblent l’apprécier, mais deux gros problèmes freinent leur satisfaction : des produits manquants dans les livraisons et des prix qui ne sont pas toujours à jour. Ça crée une frustration qui peut ternir l’image de la marque.
Julien : Je suis d’accord avec Claire sur le potentiel, mais l’application souffre de soucis techniques. Les temps de chargement sont longs, et la navigation est loin d’être intuitive.
Thomas : Le problème principal, selon moi, c’est que l’app n’est pas conçue en pensant au client. Les restaurateurs veulent de la rapidité et de la simplicité. En plus, il faut une connexion Wi-Fi solide, ce qui est un défi dans les centres-villes où les murs des restaurants bloquent souvent le signal. Beaucoup finissent par laisser un message sur le répondeur.
Journaliste : Vos avis divergent déjà ! Comment avez-vous abordé ces problèmes ?
Claire : Nous avons commencé par un atelier de brainstorming où chacun a exposé ses données et priorités. C’est là que Julien et moi avons eu notre premier désaccord.
Julien : (rire) Oui, Claire voulait lancer une campagne pour promouvoir les atouts de l’application, mais je lui ai dit que ça ne servait à rien tant que les problèmes techniques n’étaient pas résolus.
Thomas : Et moi, j’ai dit que tout ça ne marcherait pas si on ne comprenait pas les besoins réels des restaurateurs. Les enquêtes montraient que 70 % voulaient une fonction de commande répétée.
Claire : Ce à quoi j’ai répondu : “C’est génial, mais si personne ne sait que l’app existe, à quoi bon ?”
Julien : Et moi : “Peu importe combien on la promeut, si elle plante à chaque commande, les utilisateurs s’en iront vite.”
Journaliste : Comment avez-vous trouvé un terrain d’entente ?
Thomas : Nous avons élaboré un plan en trois étapes. Julien s’est d’abord occupé de l’aspect technique.
Julien : Exactement. J’ai travaillé sur la réduction des temps de chargement et la simplification de l’interface. Nous avons aussi ajouté la fonction de commandes fréquentes. En parallèle, nous avons collaboré avec les équipes logistiques pour synchroniser l’application avec les stocks des dépôts, ce qui a représenté un défi pour les acheteurs et les responsables logistiques.
Claire : Une fois ces problèmes réglés, j’ai conçu une stratégie de communication axée sur les améliorations apportées. Nous avons lancé une campagne digitale avec des vidéos courtes montrant l’utilisation simplifiée de l’app.
Thomas : Et j’ai formé les équipes du service client pour qu’elles puissent répondre rapidement aux questions et encourager les restaurateurs à essayer l’app.
Journaliste : Est-ce que cette collaboration a porté ses fruits ?
Claire : Absolument. Le nombre d’utilisateurs actifs a augmenté de 25 % dès le premier mois après la mise à jour.
Julien : Et les avis sur les stores ont explosé. Nous sommes passés de 2,8 à 4,3 étoiles.
Thomas : Plus important encore, les restaurateurs ont exprimé leur satisfaction. Ils ont apprécié la rapidité et la simplicité de la nouvelle fonctionnalité.
Journaliste : Qu’avez-vous appris de cette expérience ?
Claire : Qu’aucune stratégie marketing ne peut réussir sans une base technique solide.
Julien : Et qu’une solution digitale doit impérativement répondre aux besoins des utilisateurs.
Thomas : Et surtout, que la meilleure façon de réussir est de travailler ensemble dès le départ.
Journaliste : Un dernier conseil pour nos lecteurs ?
Claire : Prenez le temps de comprendre votre marché avant de vous lancer.
Julien : Ne sous-estimez jamais l’importance de la robustesse technique.
Thomas : Et surtout, mettez toujours vos clients au cœur de votre stratégie.
Conclusion :
Chez Méricq, l’union des forces en marketing, digital et expérience client a permis d’obtenir des résultats impressionnants. Ce scénario fictif montre que la clé du succès réside dans la collaboration et l’écoute mutuelle, même si cela implique quelques frictions au passage !



